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 | i'll give you my skin but you can't have within. (w/jules)

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Alix Rosier
we pledge allegiance

Alix Rosier
Pseudo : ice and fire.
Crédits : -av/@furiedheart./-sign/@soon.
Messages : 46
Date d'inscription : 27/03/2016
Autre comptes : aucun pour le moment.
Age : vingt-cinq ans qu'elle s'élève dans ce bas monde, qu'elle voudrait être plus, tout en étant moins.
Emploi : journaliste, elle aime écrire, elle aime frotter sa plume contre le parchemin vierge. Si elle n'utilise pas son vrai nom pour signer ses écrits, très peu savent qu'elle en est l'auteure, et elle s'en délecte.



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MessageSujet: | i'll give you my skin but you can't have within. (w/jules)   | i'll give you my skin but you can't have within. (w/jules) EmptySam 14 Mai - 15:48


When by the water we drink to the dregs look at the stones on the river bed.I can tell from your eyes you've never been by the riverside.


Les couloirs du manoir étaient vides, pourtant, pourtant une ombre suivait ses pas. Elle sentait la présence, la silhouette épier le moindre de ses pas. Alix se retourna discrètement et entra dans sa chambre. Le cœur battant, la main posée sur son visage elle réfléchit le temps de quelques secondes, le temps de mettre les pièces de puzzle dans une logique qui lui appartenait. Ce n'était pas la première fois qu'elle avait ressenti cette impression d'être surveillée, d'avoir l'impression que quelqu'un cherchait à l'espionner au sein même de sa propre maison. La brune secoua la tête, peut-être était-ce sa paranoïa, peut-être pensait-elle que Malicia avait déjà vendu son secret, peut-être qu'elle savait trop de choses à présent, et la Rosier, la princesse déchue finirait par tomber. Tomber parce que c'était sa destiné, ce à quoi on la forçait, elle, simple femme, simple pion, simple alliance, intérêt pour ses parents, malheur pour ses propres ambitions. Parce que Alix voulait briller, elle voulait briller et ça depuis bien des années, elle voulait avoir ce nom, elle voulait pouvoir le porter avec fierté sans qu'on donne sa main, sa vie à un inconnu plus très inconnu. Elle arqua un sourcil et s'assit dans son lit, la pénombre éclairant à peine sa silhouette fine. On la sous-estimait tant, elle, cette gamine discrète, cette gamine si froide, en retrait constant alors que la faim du savoir, la faim de l'indépendance éveillait son palpitant glacial. Elle avait si bien appris à masquer ses émotions, à masquer sa peur, son angoisse, sa tristesse et ses sentiments consumés par ses désirs sombres. Elle devait apprendre à être meilleure, elle devait apprendre à se contrôler, parce qu'elle avait perdu le contrôle, Alix Rosier, reine, Alix, elle, avait perdu contrôle. Elle avait giflé, presque pleuré, elle avait laissé ces larmes écarlates roulées le long de ses joues et son cœur, son cœur s'emballait, il s'emballait bien trop. Parce qu'elle voulait être une statut, une silhouette à peine visible, pour frapper si fort plus tard. La brune allait frapper, elle allait frapper si fort que ses parents regretteraient de ne pas l'avoir laissé naître plus tôt ; La grande, l’infatigable épuisée. Elle s'allongea et laissa ses yeux vagabonder contre le plafond et les moulures qui ornaient cette magnifique maison. Elle vagabondait parce qu'elle était fatiguée, fatiguée de devoir mesurer ses pas, ses actions, ses mots. Elle avait été élevé dans cet état d'esprit et elle ne le lâcherait pas, jamais, mais pourquoi, pourquoi était-elle si têtue ? Pourquoi voulait-elle absolument changer un monde inchangeable ? Un monde démodé, un monde qui n'avait jamais réussi à lui donner ce qu'elle désirait. C'était sa destiné, c'était son devoir comme sa mère osait le lui rappeler, pourtant ce n'était rien de tout ça. Ce n'était que des commodités pour que les familles ne perdent par leurs alliés, ne perdent pas leur soit-disant amis. L'hypocrisie étouffante qui émanait de chacun de ces corps, de ces purs impurs. A la morale branlante, au cœur charnu et aux pensées qui n'étaient que ténèbres, elle savait, elle savait pourquoi elle voulait changer, pourquoi elle fusillait chacun et chacune dans ses articles trop affranchis. Mais c'était devenu sa raison de vivre, ce truc qu'elle avait réussi à obtenir, à faire de ses dix doigts, sans un nom, sans une famille, on l'avait prise au talent, on avait accepté sa médisance, sa haine et sa rage. Elle les déversait sur ses parchemins vierges, sa plume ensanglanté par l'encre et par la passion de l'écriture. Une plume peut-être trop rebelle, une plume qui lui vaudrait un nombre conséquent de réprimandes. Mais elle s'en foutait Alix, elle s'en foutait parce qu'elle avait l'impression que c'était la première fois qu'on la laissait vivre, qu'on lui donnait une chance, une vraie, une chose qui était sienne, une chose franche et honnête. Parce que elle voulait son nom. Rosier. Royauté suprême que subissait la belle, elle n'avait pas bronché, jamais devant ses parents, devant ces purs insatiables, elle avait fait bonne figure, sourit au moins offrant, mais écrire sous un autre nom, être quelqu'un de complètement différent la délectait d'un sentiment de libération, un sentiment qu'elle n'avait jamais eu auparavant.

Alors que son esprit vaquait à des pensées bien moins saines, elle s'étonna à revoir le visage souriant de son frère. De son jumeau. Cette moitié qui ne faisait que torturer les mécaniques rouillés de cet esprit devenu sombre. Un palpitant à présent battant et marquant chaque souffle d'un bond dans sa poitrine, elle chercha par tous les moyens à s'accrocher à autre chose. Mais c'était Jules. C'était toujours Jules. Parce que Jules était un âme-soeur, l'âme-soeur qu'elle n'aurait jamais du avoir. Un frère, se partageant la même chair, le même sang, les mêmes parents, un truc si crasseux, un truc pourtant si beau qu'ils avaient partagé au court d'un instant éphémère à présent brisé par l'orgueil, la fierté, l'amour interdit qu'ils se partageaient inlassablement. Mais Alix ne savait pas, elle ne savait pas s'il l'aimait autant qu'elle l'aimait, elle ne savait pas si c'était contre-nature, elle perdait le contrôle, elle perdait les pédales. Elle grogna presque, parce qu'elle était épuisée de ne rien pouvoir contrôler, elle était épuisée par ses sentiments, par ses alliés, par ses ennemis. Par cette solitude qui consumait sa peau, son esprit, son âme, ses actes, mais surtout ces yeux. Ces yeux si beaux, si lumineux, ces yeux qui ne s'éclairaient plus, ces yeux qui restaient braqués. Parce qu'elle savait si bien se braquer, elle savait si bien envoyer valser son monde, dégager les gens qui lui voulaient du bien. Seule. Elle seule contre le monde. Les bras de Morphée l'engloutirent alors que ses yeux se fermèrent instantanément. (…) Le soleil passa à travers les rideaux de sa chambre, alors qu'elle sentit la brise fraîche caresser ses joues encore rouges de sa nuit passée. Se massant la nuque de sa main droite, elle se releva enfin et observa l'état de son visage dans le miroir accroché en face de son lit. Elle avait l'air fatigué, peut-être parce qu'elle l'était. Alors qu'elle se dirigea vers la petite salle de bain qui lui avait été attribué, elle chercha à masquer les cernes, les inquiétudes et les larmes qui avaient coulé. Se trouvant présentable, elle commença à sortir de sa chambre, discrètement, chat noir personne ne regarda la gamine passer le long des couloirs. Elle vit deux silhouettes au loin et reconnut son frère et une domestique. Si les mots qu'elle entendit frappèrent contre sa tempe, elle se décida de faire demi-tour et d'entrer dans sa chambre. Le puzzle. Le puzzle ; La logique. Il la faisait surveiller. Son propre frère ; Sa moitié. Il ne lui faisait donc pas confiance, il avait raison, Alix sourit. Il avait raison de ne pas lui faire confiance. Elle l'aimait, mais dieu qu'elle le détestait. Le sentiment de rage fît surface réveillant la bête grondante dans ses tripes. Alix attrapa un livre dans sa bibliothèque, sortit de sa chambre et prit la peine de s'avancer vers les appartement de son frère, espérant pouvoir le croiser. Alors qu'elle fît mine de lire les pages abîmées de l'ouvrage, elle reconnut le visage de celui qu'elle appelait encore frère. Sans ménagement, les yeux levés, elle s'avança telle une furie vers lui et lança, sans aucun remord, son livre dans sa direction espérant au moins frapper une partie de son corps. Le plus violemment possible. Parce qu'elle était mauvaise Alix, elle savait si bien être mauvaise. « Tu as de la chance que ce ne soit pas ma main qui soit venue s'écraser contre ta joue. » Elle le fusillait du regard, haineuse gamine, haineuse enfant. « Tu me fais surveiller Jules ? Tu pensais que je n'allais pas m'en rendre compte? » Elle s'approcha, en colère, trop en colère. « Je t'interdis formellement de laisser ta souillon s'approcher de moi et épier mes faits et gestes, compris ? » Elle était déçue, et elle avait peur, si peur, trop peur.
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Jules Rosier
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Jules Rosier
Pseudo : bigbadwolf, lise.
Crédits : BALACLAVA / gif profil : manon l'canon.
Messages : 867
Date d'inscription : 23/03/2016
Autre comptes : not yet.
Age : 25 ans.
Statut du sang : Pur, et il ne peut en être autrement.
Emploi : Jeune juge au magenmagot, il a été nommé à cette place grâce au ministre lui-même... Ami de la famille Rosier depuis des générations.
Baguette : bois de cerisier, trente-deux centimetres et 34 millimètres. En son coeur se trouve un crin de licorne.
Ancienne maison : Serpentard, mais Jules est un choipeauflou : le choipeau a longuement hésité avant de l'envoyer chez les verts et argent.



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MessageSujet: Re: | i'll give you my skin but you can't have within. (w/jules)   | i'll give you my skin but you can't have within. (w/jules) EmptySam 14 Mai - 19:27


i'll give you my skin but you can't have within
ft/alix rosier

Cela faisait quelques jours, voire même quelques semaines, que le prince avait envoyé son corbeau à l’affut de la moindre preuve. Alix le fuyait, et avec elle était partie la confiance inébranlable qu’il plaçait en sa moitié, celle avec qui il aurait tout partagé et même son trône, surtout son trône, si seulement cela le lui était permi. Dans l’attente de réponses de Juri, Jules travaillait à quelques dossiers au ministère. Il avait un bureau individuel, désormais, depuis la tragique mort d’Aymeric. Mort qui, il le savait puisqu’il avait fait partie de l’enquête, n’avait trouvé aucun coupable. On avait conclu a une mort naturelle, comme souvent dans le cas d’une mort par empoisonnement d’un impur. Les gens de son rang social avaient d’autres choses à faire que de se pencher sur ce genre de dossier sans grande importance. Qu’était-ce un impur, dans cette société si vaste ? Un pion, sur l’échiquier géant que les purs, eux, utilisaient en guise de plateau de jeu. Penché sur un dossier, Jules n’arrivait cependant pas à se concentrer. Lui qui avait fait ses armes dans ce bureau avait désormais du mal à ne pas lever les yeux pour les poser sur le coin à présent vide, en face de lui. Autrefois il lui suffisait d’ensorceller la porte pour pouvoir se distraire un peu, en compagnie de cet imbécile de sang mêlé. Il n’était pas si inutile que ça, et faisait des choses avec sa bouche que Jules n’oublierait probablement jamais. Ou du moins pas de sitôt. Après un énième soupire agacé, le brun referma le dossier presque violemment et fit voler une feuille, libre, qui tomba sur le sol. Eduqué comme un prince, un futur roi, Jules n’en était pas moins un homme et il lui arrivait de s’en souvenir. Las, il se leva de sa chaise et alla ramasser la feuille, à laquelle était accrochée la photo de la suspecte de son dossier. Une femme qui avait commis plusieurs vols, essentiellement au nord du pays, non loin de Poudlard. Le sorcier glissa la feuille dans le dossier, avant de glisser le dossier dans son porte documents magique. Il pouvait y glisser plus que des dossiers. Il pouvait à vrai dire y glisser tout ce qu’il voulait, grâce au sortilège d’élargissement indétectable que le fabrikant avant lancé sur la malette en cuire italien de première catégorie. Cuire italien, fabrication française, importée en Angleterre parce que Jules Rosier, neuvième du nom, en avait décidé ainsi. Le luxe suintait de ses pores, c’en était répugnant pour tous ceux qui crevaient de faim dans la rue, ou ceux qui peinaient à joindre les deux bouts et devaient accumuler plusieurs boulots… Ou voler, comme cette femme qu’il s’apprêtait à juger avec ses confrères du magenmagot. Jules n’en avait cure, il ne voyait pas pourquoi il devrait se priver. Ses ancêtres avaient portés des capes d’hermines sur leurs épaules, et une couronne en guise de couvre chef. Lui n’avait ni l’un, ni l’autre, mais le prince se délactait de trouver les habits les plus luxueux, même si ce n’était que pour venir travailler, enfermer sous terre à cause des moldus qui les avait contraints à se cacher. Il enfile sa cape par dessous son costume, elle repose sur ses épaules déjà bien trop chargées d’obligations et de pression sociale, et il s’échappe du ministère bien plus tôt plus tôt que la fin de son temps de travail décrit dans le contrat qu’il avait signé, lors de sa récente promotion au poste de juré. On lui enverrait un patronus si il devait revenir en urgence. A peine arrivé dans l’atrium, Jules transplane devant les portes de l’imposant domaine qui appartient à sa famille. La journée a commencé il y a déjà quelques heures, Jules n’en est partit que deux, il n’arrive pas à se concentrer et a besoin de savoir. L’héritier Rosier pénètre dans le domaine, et se rend à l’intérieur du manoir. Là, leur elfe de maison prend sa cape et il montre sans même daigner jeter un regard à cette petite créature, que son frère et sa soeur ainée semble apprécier plus que de raison, pour un serviteur du plus bas niveau qu’est l’elfe.

Jules approche de ses appartements d’un pas assuré. Son dos est droit, son menton est tout aussi droit et son regard est fixé sur un point devant lui : la porte de son bureau personnel, dans une aile de l’incroyable batisse. Mais là, Juri arrive dans son champ de vision. Jules lui fait signe de s’approcher. « Alors ? » Il est impatient, le prince. Il a besoin de savoir ce que sa sœur trâme dans son dos. Elle l’a délaissé, s’est entiché de leur cadet à la place de le voir lui. Elle s’est laissée allée à des idéaux qui ne correspondent pas à ceux du clan, et Jules a bien du mal à le lui pardonner, parce que pour lui ils sont tout ce qu’il a. Au-delà de l’argent, au-delà du statut social et du trône qu’ils ont perdu à la faveur de cette hérésie de gouvernement pseudo-démocratique. Les Rosier sont un sang, un sang pur et royal, un sang qu’il veut unir pour le bien d’une cause qui avait déjà motivé Clément, son ancêtre, à fonder une famille plus large encore : détruire les Greengrass. A tout prix. Juri lui annonça le même genre de nouvelles que les autres jours : rien. Alix ne faisait rien contre lui, elle en était certaine mais Jules n’en était pas aussi certain. Enervé par sa journée déjà morose, Jules balaya les dires de la japonaise d’un geste de la main. « Trouve quelque chose, trouve ce qu’elle fait. » Du coin de l’œil, il aperçoit sa moitié, mais le temps de tourner la tête et elle a déjà filé. Alix est une beauté insaisissable, surtout pour lui. Il s’en veut de l’aimer autant, mais ne sait pas comment aimer si ce n’est comment l’aimer elle. Et à son amour qui n’a jamais faiblit depuis des années, se mêle de plus en plus une amertume grandissante et incontrôlable. Il la veut, mais elle se refuse à lui. Elle ne l’aime pas, il s’en persuadé voilà des années, maintenant. Pire, elle semble le haïr, lui adresse à peine la parole, et quand elle le fait ce ne sont que des mots teintés de poison qui viennent le heurter. Mais il l’aime, et il la laisse parler, parce qu’au moins elle lui parle. Il essaie de se fermer à ce qu’elle dit, de ne voir que sa bouche qui s’anime, son corps s’approcher du sien, mais il déteste son regard. Parce que même si il arrive à se couper de ses mots, son regard les renvoient avec une violence qu’il a du mal à supporter. Juri le quitte, après avoir entendu sa dernière demande et Jules ouvre la porte de son bureau. Il passe dans une autre pièce, proche du bureau, c’est un petit salon qui est proche d’un autre couloir, dont la porte est ouverte aussi. Là, Alix passe à nouveau, elle lit un livre et il ne fait pas plus attention que ça à elle, jusqu’à ce qu’elle lui lance son livre dessus. Il l’atteint à l’épaule, et alors que la douleur du choc irradie son bras, Jules pose un regard noir sur elle. Qu’est-ce qui la mise si en colère qu’elle est prête à lui jeter un livre – un de ses bébés – au visage ? « Tu as de la chance que ce ne soit pas ma main qui soit venue s'écraser contre ta joue. » Ca aurait sans doute était plus douloureux, en effet, et il sera resté avec une marque indélébile pendant plusieurs heures, pour sur. « Tu me fais surveiller Jules ? Tu pensais que je n'allais pas m'en rendre compte? » Le brun fronce les sourcils, presque imperceptiblement tant il change d’expression rapidement. « Je t'interdis formellement de laisser ta souillon s'approcher de moi et épier mes faits et gestes, compris ? » Juri. Elle était d’une discrétion sans failles, mais Alix avait du la sentir la suivre et avait finit par comprendre. Après tout, tous les Rosier savaient que c’était Jules qui avait amené la japonaise à leur service. Le jeune homme se masse l’épaule, pour faire disparaître la douleur plus rapidement, puis il ramasse le livre et le pose sur une table du petit salon. « Ne fait plus jamais ça. » Il est calme, il ne veut jamais la menacer, pas elle, parce qu’il l’aime trop. Et parce qu’il l’aime trop, parce qu’il les aiment trop, il ne pourrait jamais les blesser physiquement. C’est la différence qu’il a avec Alix, il a ce sens du clan, bien ancré, peut être à cause de son éducation, ou peut être depuis qu’il est né. « Tu as quelque chose à cacher, Alix ? » Il ne répondait pas, il savait qu’il ne le devait pas, parce que ça envenimerait les choses. Jules s’approche aussi, il la regarde. Même en colère, il l’aime, même si il en gardera un petit bleu quelques jours, il l’aime. C’est dingue, il est prêt à tout. « D’accord, j’aurais pas du… » Il commence, mais il hésite… Pourquoi s’excuser ? Elle, elle lui planterait un couteau dans le dos à la moindre occasion, il en est certain.
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