Ses émotions formaient un maelström et la douleur, la douleur contre ses côtes était forte, étouffant son souffle sous un poids imaginaire. Sa magie, la magie qu’elle avait toujours ressenti s’instiller dans ses veines, liquide et délicate, semblait être en train de vibrer, de se livrer à une parfaite tempête, qui se manifestait sur chaque parcelle de sa peau. L’ouragan faisait trembler sa frêle silhouette amincie sous ses effets, mais elle était déjà bien au-delà d’une pleine cognition pour le remarquer. Sa nuque et son dos étaient ravagés par l’affliction, qui érigeait chacun de ses os. Un feu intérieur consumait ses articulations de sa chaleur destructrice, pourtant elle avait si, si froid. La môme possédait à moitié le sang d’une Ivashkov, elle était l’héritière d’une fille de glace, d’une reine sibérienne et elle ne pouvait pas s’empêcher de tressaillir en réaction à la fraîcheur chimérique inventée par son cerveau. Des larmes perlaient au coin de ses paupières fermement closes, alors qu’elle tentait de faire le vide – une mission impossible, Amarantha n’arrivait décidément pas à omettre la voix criarde, la voix suppliant de cesser cette torture. Son cœur pulsait furieusement, fiévreusement, tentant d’échapper à sa cage thoracique, tel un oiseau ne supportant plus la maltraitance portée à son encontre. La brunette entendait les aboiement d’agencement filer de la part d’une femme (sa mère), l’inquiétude grandir dans les murmures de deux garçons (ses frères), les cris d’horreur agiter la chambre (elle-même) et pourtant rien ne s’enregistrait dans sa boite crânienne ; il y avait un trop plein, qui empêchait les informations de rentrer. Elle ne savait plus comment elle s’appelait, quel âge elle avait ; l’enfant ne comprenait pas où elle se trouvait et qui étaient les personnes se prosternant à ses côtés. (Pourquoi, au nom de Morgana, Merlin et Morgause ne faisaient-ils rien pour la sauver ?) Tout ce dont elle avait la capacité, c’était ressentir ressentir ressentir. Elle voulait que ça cesse, que tout cesse. Et comme par magie – la sienne, redevenue instantanément une rivière, calme et fluide – tout s’arrêta. Brusquement. La poupée s’affaissa contre ses draps mouillés. Elle baignait dans la sueur, mais n’avait pas la force de faire remarquer sa gêne à quelqu’un. Elle était trop faible pour ouvrir ses lèvres ou encore ses yeux, seule sa respiration rauque montrait encore la présence de sa vitalité en une animation insignifiante. « Dépêche-toi, Grump ! » La voix impétueuse de sa génitrice irradiait la colère et l’autorité tandis qu’elle projeta l’ordre à l’un des elfes de maison se pressant dans la pièce. Déglutissant difficilement, la gamine essaya de réagir alors qu’une de ses mèches fut attrapée entre des doigts étrangers. Violette, qu’elle devina, un mélange de sa colère et de sa douleur – surtout de sa douleur. Un gémissement s’échappa de ses lèvres serrées, alors qu’un ténor inconnu s’imposa à eux tous avec une constatation des plus déplorables sur son état. « Sa particularité ne lui aide décidément pas. Avec tout mon respect et ma désolation, Madame Black, je pense qu’il va lui être difficile de survivre au-delà de sa neuvième année. Ses crises la rendront d’autant plus faible et la douleur la poussera à essayer de se un toussotement penaud faire du mal. » La sentence tomba de la bouche de l’homme, négligeant la présence des enfants aux oreilles curieuses, innocentes à la vue de l’horreur de son soliloque. Âgés de six, neuf et onze ans, Amarantha n’était pas la première à comprendre ce qu’il disait, mais elle avait quand même envie de pleurer. Entre ça et la douleur à sa gorge, mise à mal par ses cris précédents et inconscients, elle n’avait que ce simple souhait : sangloter, plus encore qu’elle ne l’avait fait tout à l’heure. Mais elle savait que la matriarche de la famille Black ne serait pas heureuse et puis elle n’était pas tout à fait sûre d’en être capable. La môme n’avait plus aucune énergie. « Instinctivement, elle va vouloir s’arracher la peau, les cheveux. Les yeux. Les cas atteints d’Adacruotis sont plus que singuliers, c’est la première fois de toute ma carrière que je rencontre quelqu’un qui en est la victime. Je sais que l’un de mes ancêtres, guérisseur lui aussi, avait été confronté à un patient de ce genre, mais ce dernier était bien plus âgé. Et même avec son expérience, cela ne l’a pas empêché de succomber… Je suis désolé. » Elle ne pouvait pas voir la réaction de ses frères, ni celle de sa mère. Etait-elle contrariée devant une annonce aussi funeste ? Triste ? Enragée ? La benjamine des Black était dans le noir le plus complet. Le silence qui s’était installé suite à l’information nouvelle fut brisé par le claquement colérique d’une porte. Elle pensait deviner de qui il s’agissait : le plus téméraire de la fratrie. Mara ne pouvait le blâmer, même si son départ lui noua l’estomac. Elle aussi voulait partir, montrer son désespoir en claquant des portes et en frappant des meubles. L’idée était plaisante, mais moins que la main qui se déposa sur sa joue. D’une rare délicatesse, cette dernière essuya les sillons humides s’étant creusés sur son épiderme. « Elle va s’en sortir, Articus. Il ne peut en être autrement. » Une conviction se percevait dans les paroles de la russe, faisant naître un espoir au fond du cœur de la petite fille. Peut-être qu’elle pouvait survivre. Elle était forte. Elle avait été forgée dans du feu et le sang de sa famille. « Vous pouvez partir. On a plus besoin de vos services et de votre démoralisation. Vous êtes médicomage, pas voyant. Twitchet, raccompagne-le à la porte. — Oui, Maîtresse. Veuillez suivre Twitchet, Monsieur. un soupir échappa au guérisseur, consterné par le déni de la sang-pure — Good evening, Ma'am. » La môme ne prêtait déjà plus attention à ce qui se passait actuellement, ni à son elfe, ni à l’homme – good evening? what a rude man, que sa mère murmura à mi-voix. « Here it is, Mistress. » Grump était apparemment de retour (it ?), chose qu’elle ne questionna pas très longtemps. Une sensation de fraicheur se répandit dans tout son corps sans prévenir – un sortilège –, suivi par quelqu’un qui s’installa à ses côtés, sur les couvertures de son lit. Le matelas s’agita un instant sous le poids de la personne alors qu’un tissu humide fut déposé sur son front. La femme plus âgée dégagea tout ses cheveux, plaqués contre son front par sa transpiration. Ses cheveux, qui se transformaient en un bleu ciel sous ses yeux. Un événement familier en six années de vie de sa dernière progéniture, mais un événement qui continuait tout de même à étonner et à fasciner l’épouse Black. « Tu vas t’en sortir, tu m’entends ? Dès demain on va convoquer un potionniste et quelqu’un pour t’aider à maîtriser ta métamorphomagie. Je ne compte pas dire au revoir à mon unique fille aussi vite. » La gamine ne dit rien et pour cause : elle s’était endormie sous la caresse et le soulagement d’être soutenue de cette manière. Et puis elle était bien trop affaiblie pour rester éveillée plus longtemps. There was hope, yet, though.




Un sourire se calqua sur ses lèvres vermeilles, tandis que le baiser claqua sur sa joue finement recouverte de maquillage. Les deux jolies demoiselles se firent la bise, agissant selon les règles de bonne société et pourtant, tout cela sonnait faux. Creux. Il n’y avait, en vérité, aucune bonté entre elles, mais les regards se tournaient, inquisiteurs et curieux, alors elles ne pouvaient pas agir autrement. Voix remplies de miel, les moues se revêtaient de dérision lors de quelques brefs instants alors qu’elles se séparaient pour aller saluer le reste de tout ce beau monde. Et la mascarade dura des heures et des heures. Jusqu’à ce que la fatigue ne la fasse ployer – une fausse excuse jetée à son père, qui semblait être plongé dans une conversation animée avec le patriarche Lestrange et Rosier. Ses pas la menèrent au troisième étage du manoir et dès le seuil de ses quartiers franchit, Amarantha commença à troquer ses vêtements. D’abord la robe d’apparat, qui glissa comme de la soie sur sa silhouette jusqu’au sol, formant un halo lumineux à ses pieds, puis les bracelets trônant sur ses minces poignets, enlevés et jetés sur la couverture bordeaux de son lit. La sorcière s’apprêtait à défaire ses boucles d’oreilles quand un crack sonore l’interrompit dans ses gestes, le temps d’un bref instant. « Est-ce que Twitchet peut aider Maîtresse Amarantha à se préparer pour la nuit ? » Le soulagement – la déception – fugace de voir son elfe se présenter à elle et non pas quelqu’un d’autre fut remplacé par de l’agacement. Que fut aussi échangé pour un semblant de calme, facile à farder. Comme à son habitude, partager la compagnie de la créature l’exacerbait au possible. Mais Mara avait appris à le cacher, appris à ne pas afficher son dégout, masquer celui-ci par de l’indifférence. Le contrôle sur ses émotions les plus élémentaires avait été naturel, durant son apprentissage. Ou du moins aussi naturel qu’il avait pu l’être, alors qu’elle était susceptible à tout instant de se plier de douleur sans en être avertie au-préalable. Salazar soit loué, dorénavant la brunette dirigeait d’une main de fer ses ressentiments. (Menteuse.) La princesse s’extirpa de ses escarpins en silence, restant un moment à farfouiller avec la fermeture du bijou pendant à son oreille, tout en contemplant le jeu de lumière se tramant le long des murs de la pièce – les bougies faisant naître des ombres chinoises qu’elle aurait voulu capturer sur l’une de ses peintures. « Convoque Morrigan. — Mais Maîtresse, Morrig… » Agacement, agacement, agacement. La langue claqua contre le palais. Les prunelles étrangement féériques – magiques, que lui avait soufflé Damen, son professeur, sur le ton de confidence, le ton de rassurance, face à ce changement, comme s’il pouvait sentir son angoisse, sa peur de se transformer, de se perdre et ne plus jamais se retrouver – se tournèrent vers Twitchet. Un sourcil élégant se releva sur la moue autrement refrognée. « Est-ce que j’ai l’air d’en avoir quelque chose à faire ? — Non… » C’était presque amusant de sentir la terreur exsuder de Twitch sous son regard indifférant, mais glacial. Un regard qui ne présageait rien de bon. (une discussion avec son professeur lui revint « Et si la rage est trop grande ? Et si quelqu’un m’énerve ? Je ne veux plus avoir l’air d’un arc-en-ciel. Je ne veux pas être en colère. — Alors ne le sois pas. Ou apprends à te contrôler. Si tu te métamorphoses pour aussi peu, comment est-ce que tu pourras te contenir pour autre chose ? Tu es une Black, Mara, tu sais ce que ça représente ? Tu ne peux pas afficher tes faiblesses sur ton visage, encore moins sur tes cheveux. Apprends à te contrôler, ou fais taire tes émotions à jamais. ») De légers tremblements – de ceux qu’il tenait son nom – parcouraient la mince forme de la créature, ce qui fit davantage accentuer le sourire carnassier de la brunette. « Tu oses me répondre ? Va me chercher Morrigan. Ensuite, donne-toi la punition que tu mérites. Tu la mérites, n’est-ce pas ? » Ton douceâtre, les deux boucles d’oreille suivirent le même trajet que le reste des pierreries. Comme si l’interrogation avait la possibilité d’y changer quelque chose. Comme si l’interrogation n’était en vérité pas une affirmation, l’attestation de son pouvoir sur l’animal. Ridicule. « Oui ! Je suis désolée Maîtresse ! Twitchet le mérite, Twitchet a désobéi à Maîtresse, Twitchet va se punir extrêmement fort. — Oust, je veux plus te voir geindre. » L’elfe transplana aussitôt, emportant avec lui le début de ses sanglots. Une constatation qui ne toucha en rien son cœur cruel.  

L’arrivée de l’autre jeune femme dans sa chambre semblait passer inaperçue ; la princesse était plongée dans son armoire, vêtue seulement de ses bas et de son corset. Pas pudique devant le regard de la blonde, d’un mouvement de son poignet, elle faisait défiler les cintres sous son observation inquisitrice. Amarantha était pourtant bien consciente de la présence de Morrigan. Son regard était électrique, elle pouvait en sentir l’étincelle effleurer sa nuque ; elle devinait sa grimace exaspérée, qui ne tarderait pas à s’envoler au profit d’une remarque piquante. Est-ce que Mara n’avait donc aucune honte ? Surtout à la déranger ainsi, enfant capricieuse, lors de son seul jour de repos ? La réponse était non ; elle devait s’estimer heureuse d’avoir eu droit à ce congé. La benjamine Black aurait pu la faire travailler jusqu’à ce que sa peau ne prenne une teinte translucide et que la fatigue ne l’importe pour un long, très long sommeil. Elle aurait pu se permettre tout —c’était l’avantage d’avoir toutes les cartes en main. Elle le savait. Morrigan le savait, aussi ; elle était coincée dans cette position de faiblesse, mais se permettait toutefois bien plus qu’il ne lui était autorisé, l’impertinente. Il était temps de la rappeler à l’ordre. Seulement pas aujourd’hui. Today, she didn’t want to be late. L’idée de son rendez-vous lui apporta un sourire mutin sur ses lippes, ce qui illumina son visage. « Ce n’est pas la peine de me faire la morale, Morrigan. Je crois que tu oublies ta place. — Prends la violette. Elle m'ira mieux. » L’azur se tourna vers la silhouette se tenant dans l’encadrement de la porte, jaugeant celle-ci de la tête aux pieds, comme si elle n’en connaissait pas chaque détail, chaque parcelle. Elle haussa les épaules. « Très bien. » D’un mouvement gracile de sa baguette, la robe en question lévita jusqu’à sa commode, où elle s’apposa délicatement, attendant d’être enfilée. Satisfaite, Mara se tourna vers la servante – l’amie qui n’avait jamais pu être. Elle traversa la pièce jusqu’à l’endroit où cette dernière s’était calée contre un mur, complètement détendue. (idiote) Déjà, ses traits de poupée commençaient à changer. Grossièrement, d’abord. Son nez s’allongea légèrement, aquilin, et ses lèvres grossirent, n’ayant aucune vraie place sur son vrai visage. Puis sa peau, sa taille, la longueur de ses cheveux. Leur couleur passant de leur jais habituel à un blond vénitien et inexact – la teinte se corrigea alors que la sorcière attrapa le minois de son double imparfait entre ses doigts. D’une délicatesse hostile, Amarantha tourna ce dernier vers la gauche, puis la droite ; plongea ses prunelles dans celles, sombres – la même nuance qu’avait accentuée ses iris pendant les six premières années de son existence, constata-t-elle amèrement, comme à son habitude, avant de chasser cette pensée qui n’avait pas lieu d’être – et expressives, de l’ancienne serdaigle. Morrigan n’avait pas l’air gênée d’être étudiée ainsi, même faire face à son propre reflet sorti tout droit d’un miroir ne semblait la déranger ; elle s’était probablement habituée à ce spectacle. De voir Mara glisser dans sa peau. De voir Mara disparaître. Ne laissant que deux Morrigan, deux ombres similaires. Banales, parfaites pour passer inaperçues qu’avait jugé la princesse, la première fois, ignorant les pommettes seyantes et impérieuses, les cheveux cendrés, incandescents à la lumière. « Les yeux ne sont pas les mêmes. » Elle avait raison, Amarantha n’avait pas besoin de le vérifier pour deviner qu’elle n’avait pas réussi à les copier ; ces derniers ayant toujours été sa plus grande faiblesse. Trop insondables, animés d’une intempérie difficile à régenter, à estomper. L’aspect n’était pas pareil, qu’importe leur coloris. Insatisfaite de ne pas pouvoir arriver du premier coup, ni du deuxième, ses orbes chancelèrent à nouveau entre le céruléen chatoyant et le charbon ténébreux. Encore et encore. Les lippes soudainement retroussées et les doigts tremblants, elle pouvait sentir les défauts, les craquelures dans sa façade. Renforçant son emprise sur l’épiderme de la sorcière, blanc sous son toucher, la jeune fille ne réagit pas à la convulsion douloureuse qui s’extériorisa sur les faciès de sa collaboratrice. L’obscurité tourbillonnait en elle, des filets de frustration venant embrumer sa conscience, sa vision du monde extérieur. Au début de ses entraînements, des années auparavant, la môme aurait déjà flanché, se serait fracassée sous la rudesse de l’épreuve, sous l’épuisement à moitié provoqué par l’état de sa santé. Mais elle n’était pas cette Mara là. Elle n’avait plus six ans, ni huit, ni même quatorze. Elle n’était pas une poupée, faite de verre, érigée de porcelaine. Elle était bien plus forte, bien plus maîtresse d’elle-même. Le contrôle. Les chiffres, un, deux, trois, quatre. Souffle, imagine toi des murs, tu es vide, tout est blanc, vide, pur, tu es creuse. Creuse, creuse, creuse. Muraille, souviens-toi de ce que Damen t’a appris. Souviens-toi de la douleur. Apaise la tempête, tu es Amarantha, mais avant ça, tu es Morrigan. Morrigan, tu sais qui est Morrigan, souviens-toi de Morrigan. Regarde-la, calme-toi, calme-toi, calme-toi. Transforme-toi, Mara. Efface-toi. Et les émotions se plièrent, une par une, l’empêchant de s’effondrer. Son âme se recroquevilla dans un coin, derrière ses défenses, derrière ses attaques. Et elle s’éclipsa, complètement. Gone, she was gone. Physiquement. Elle était toujours là, elle. Amarantha. Un souffle, de sa main – celle de Morrigan – elle remit une mèche de ses cheveux derrière son oreille, délaissant la sang mêlée, qui se frottait les endroits affligés inconsciemment par l’héritière Black. « Tu peux partir, je n’ai plus besoin de toi pour ce soir. — T’es vraiment affreuse… » Elle ne lui laissa pas le temps de continuer, de lui donner des instructions ou de la réprimander pour ce qu’elle allait faire et qui allait voir. La porte de la salle de bain se referma derrière son dos en un bruit sourd.

Bravo, tu viens d'être validé(e) sur TPOTA! L'équipe administrative te souhaite félicitation et se réjouit que tu ais rejoint les rangs du forum! Premièrement, un petit mot sur ta fiche : cette plume, JE MEURS. ta fiche est divine à lire, un petit bijou. j'ai adoré la lire, notamment la partie sur sa fameuse maladie! puis sa personnalité... IL NOUS FAUT DÉFINITIVEMENT UN LIEN, qu'on aille fracasser quelques impurs ensemble, on serait trop classes. je te valide de toute évidence, c'est parfait. . Et à présent que tu es validé(e), tu peux dés maintenant faire tes scénarios. Nous t'invitons également à venir te recenser dans les différents registres disponibles dans cette catégorie, mais aussi à créer ta fiche de liens ici, ainsi que ton journal de bord par là. N'oublie pas également que la partie flood et jeux est le meilleur moyen de s'intégrer sur le forum. Si tu as des questions, la boite mp du staff est à ta disposition! En te souhaitant bon jeu!