⤜Qui sait obéir sauras ensuite commander
Enfance tranquille, tu te nourris des richesses de ta famille sans savoir que tu payes le prix plein. Encore naïf, tu cours rejoindre ses amis que tu connais bien, certains Flint, d'autres Greengrass. Tu as appris que Maman a d'abord été une Flint avant d'être une Greengrass comme toi. Les femmes changent de noms après leur mariage, t'a expliquée Cléophée, tu ne comprends pas l'intérêt, comment savoir qui sont les parents de qui après, pourquoi obliger Maman a changée de nom ? Une question sans réponse, tu n'as sûrement pas besoin de savoir étant donné que personne n'a daigné t'expliquer. Alors, tu ris aux éclats, jetant parfois un regard attentif à Maman, espérant voir apparaître la lueur de fierté dans son regard quand tu fais plaisir à ses amis, que tu montres comme tu es généreux en leur offrant ta présence joyeuse , en étant aimable même avec les personnes qui t'énervent. Ayant déjà accepté le concept de mariage arrangé à ton jeune âge, tu sais que les amis de Papa donneront une fille pour que tu te maries, soit une Bulstrode, soit une Lestrange. Tu espères qu'elle acceptera de changer de nom, même si cette tradition reste rigolote à tes yeux. L'enfant insouciant que tu es, tu passes d'une idée à une autre avant d'aller rejoindre le jeu en cours, oubliant déjà l'idée de mariage, prenant plaisir à sourire.
Caché par les arbres du jardin, l'un d'eux fourre son doigt dans son nez, tu ne lui dis rien malgré le dégoût qu'il t'inspire.  Créer un conflit est mauvais, Maman te gronde toujours quand tu te disputes avec les autres, ce n'est pas digne de ton rang, dit-elle sans cesse. Tu maîtrises les bases de l'étiquette, du savoir vivre, des règles ennuyeuses qu'il faut suivre si l'on veut être quelqu'un de bien. Alors, tu souris, peu importe ce qu'il t'inspire et rejoins les autres, pour jouer et leur raconter ce qu'il faisait avec un rire sournois comme le font les adultes entre eux. Voyant rapidement leur regard changé, tous contre lui, ils pointent du doigt cet ami avec lequel vous avez joué quelque seconde plus tôt. Chaque enfant ici ayant appris les règles à suivre en observant leurs parents, vous prenez la bonne marche à suivre en cas d'écart aux règles d'un confrère. L'ami désormais surnommé crotte de nez, très peu subtil, mais représentatif du fonctionnement de votre monde. Si tu ne colles pas au monde, il te rejette, si tu n'es pas comme il faut, les gens t'éjectent. Une règle tacite que vous appliquez tous.   Par chance, vous n'êtes que des enfants, l'histoire rapidement oublié, Maman annonce l'heure du retour, lui peut récupérer sa place et son nom au moment de dire au revoir. Adulte, vous l'auriez critiqué longtemps, les anciens amis seraient devenus ennemis, crachant votre venin sur les actes tantôt respectés, voyant chaque acte de cette personne comme perfide pour l'unique raison qu'il ne joue pas avec les règles que d'autre ont imposés. Sans conscience propre de la perversité du sang-pur dans tes veines, tu salues tout le monde, remerciant de l'accueil, exprimant à quel point tu as aimé jouer avec tes amis, que tu le penses ou non, tu le fais, tu dois donner l'impression que tous à été parfait, puisque tu es quelqu'un de noble.

⤜ La bouche obéit mal lorsque le coeur murmure
Pire jour de ta vie, tu as attendu longtemps et aujourd'hui tu as reçu l'ordre. Les autres adolescents ont pu s'amuser, prendre leur chemin, ceux que tu as connu à Poudlard ne faisant pas partis des neufs familles sacrées ont même choisis quelqu'un qu'ils aiment. Tu les vois, s'embrasser dans l'ombre, au sommet des tours abandonnées de tous, au détour d'un mur de livres dans la bibliothèque, ils se donnent de petites preuves d'amour, des baisers à l'arracher. Tu éprouves un profond désir de leur ressembler, d'avoir ses petits riens, tu es comme les autres malgré tout, tu veux ce que tu n'as pas, toujours plus comme eux, une réaction humaine. Seulement, or, pouvoir et alliance ne t'offre rien, naître Greengrass t'a permis de faire rapidement le tour de la question, non, tu t'intéresses au savoir, à toutes ses choses que tu n'as pas expérimentées. L'amour en fait partie, loin d'être en haut de la liste, tu veux savoir ce que ça fait, certain l'on décrit comme une magie puissante, d'autre comme une expérience unique. Pourtant, tu gardes tes distances, tu t'éloignes de tous sentiments du genre, parce que tu sais ce qu'il t'en coûte d'éprouver ce genre de choses. Ta vie est guidée, tu as même le nom de celle que tu dois épouser. Malia Lestrange. Un nom, ni plus, ni moins, tu espères simplement ne pas devoir trop changer de mode de vie pour elle, tu espères qu'elle te laisse être toi-même, au moins à la maison, loin des regards. Oui, vous allez vivre ensemble.   Elle ne va pas refuser, elle a été préparée à recevoir cette demande et toi à l'émettre. Tu entends déjà sa réponse résonner dans ta tête, affichant peut-être une joie aussi feinte que la tienne, vous vous enlacerez timidement en public, être pudique, mais montrer que l'on s'aime. Plus tard, vous arriverez au moment de choisir de vivre ensemble dans un des manoir familiaux, certainement le tien, étant l'homme du couple, encore après, vous aurez des enfants, un, deux, trois ou plus, pour avoir une descendance et porté le nom dans le temps. Tu sais déjà tout de cette vie, elle ne t'intéresse pas. A quoi bon jouer à un jeu dont on connaît l'issu ? C'est pour débuter ce jeu malheureux que tu es ici, à cette grande réception organiser pour une raison que tu as oubliée, ne prêtant que bien peu d'attention à cette soirée, autre chose t'occupe. Malia est là, tu le sais, tout le monde est venu, tu rejoues la scène dans ta tête alors que tu t'avances en sa direction. La salutation d'un signe de tête, tu l'emmènes un peu à l'écart, tu discutes quelques peu, tu essayes de lui faire comprendre avant de t'agenouiller pour qu'elle ne soit pas trop surprises et finalement, tu prends cette boite qui brûle d'être ouverte dans ta poche et lui offre en prononçant la demande. Bien lourde tâche que tu vas accomplir au plus vite, que tout soit finis, que le poids qui pèse s'efface, que tu partages désormais ta vie avec elle, sans pour autant vous aimez, l'action de l'un répercute sur l'autre, que vous le vouliez ou non, vous êtes maintenant dans le même bateau, jusqu'à ce que la mort vous sépares.

⤜ Rien d'audacieux n'existe sans la désobéissance à des règles
La vie continue, le temps est passé depuis cette demande de fiançailles, tu as continué de vivre plus ou moins de la même manière. Prenant la place que tu as toujours occupé le mieux, dans ton fauteuil, un livre à la main, ce stupide chat sur les genoux alors que la lune est déjà haute dans le ciel. Tu es là pour observer le monde, pour comprendre les êtres y vivants, l'esprit d'un vieil homme fatigué dans ce corps de jeune fringuant, à peine 24 ans et déjà lassé de tes semblables sang-pur. Posant ton livre sur le meuble quelconque, tu réfléchis, ouvrant les yeux sur l'étendue d'étoile dans le vaste nocturne, alors que tu imagines qu'autre part, une créature observe sûrement le même ciel que toi, un tout autre dessin à l'esprit sans que tu puisses imaginer le dixième ce qu'il perçoit. Un sujet qui t'intéresse, l'inconnu, les choses qu'on est normalement incapable de comprendre, c'est pour ça que tu lis, encore et toujours, baignant dans une richesse différente que celle des autres nobles. Tu es dans l'ombre, par chance, deuxième fils, tu n'es pas promis a de grande chose, devant tout de même garder la tête haute, le torse bomber en public, tu profites de la place du second, observant, voyant les agissements des uns et des autres. Ils t'arrivent même de t'essayer à contrôler les débats, ses moments rares où le mensonge te quitte pour enfin t'intéresser à la discussion, juste avant qu'un des interlocuteurs trop peu connaisseur trouve un moyen de briller par une tout autre discussion, bien moins intelligente, ce que tu regrettes souvent.  Eux, riant des uns et des autres, sujet d'un ennui sur-dimensionné, tout les nobles se grimpent dessus, cherchant le sommet de la société envers et contre tout, ceux que tu rechignes le plus à comprendre. Cette envie d'être plus haut que les autres,  tu ne l'as pas, à quoi bon atteindre le sommet quand on ne sait pas quoi en faire? Ce sont des idiots, un point de vue facile pour quelqu'un venus d'une famille comme la tienne disent certains. Non, ce sont des idiots pour toi qui ne cherche que la tranquillité, aucune idée de richesse dedans. Tu n'as pas d'intérêt pour la politique, c'est une besogne que tu accomplis pourtant, pour conserver une paix relative dans ta famille. Même maintenant, tu réfléchis à cette lettre que tu as envoyée il y a peu à la jeune Rosier qu'on dit facile à manipuler. Une corvée moins difficile qu'on peut le croire, contraignante et nécessaire, grâce à elle, tu peux être au courant d'une éventuelle tentative de nuire à votre famille de leur part. Un renvoi d'ascenseur en somme, quand on sait ce que les Herbvert ont fait par le passé. C'est parce que tu as su t'infiltrer, ne pas chercher à prendre le mieux payer, mais le plus simple qu'aujourd'hui tu peux dire que tu n'es pas si mal au final. Les secrets que tu gardes bien, escapades nocturnes dans des bars malfamé où les gens sont bien accueillant, travaille au ministère en tant que Langue-de-plomb, désormais, même tes parents ont du mal à contrôler ta vie, de par son côté mystérieux, occultés au monde, qu'ils soient dans ta sphère privée ou non.  Voilà où tu en es aujourd'hui, 24 ans, un chat fidèle, un travail parfait et tes passions changeante, à te laisser vivre ainsi on peut croire que tu tournes en ronds, portant finalement le nom bien mieux qu'au départ, tu rêves tout de même de t'en détacher un jour, payer cette dette de naissance et t'envoler ailleurs, loin d'ici, un endroit où tout est plus beau. Le chez toi, ce que tu n'as pas pris, ni à des ancêtres, ni à d'autres gens. Tu l'aurais construis là où le nom Greengrass sonne comme n'importe quel autre nom anglais. Un idylle seulement rencontré en rêve. Un rêve qui ne se réalisera jamais. L'amertume de cette pensée te pèse, mais tu connais la réalité, l'idée de te battre contre elle te semble stupide. Alors, tu acquiesces brièvement, poussant le chat, t'étirant avant de filer droit dans ton lit, pour reprendre la réflexion demain au réveille avant d'enfiler ton masque et ton manteau pour continuer à vivre envers et contre tout.  

Bravo, tu viens d'être validé(e) sur TPOTA! L'équipe administrative te souhaite félicitation et se réjouit que tu ais rejoint les rangs du forum! Premièrement, un petit mot sur ta fiche : COMMENT CA IL EST EN CONTACT AVEC UNE ROSIER ? CETTE FAMILLE N'A QUE DES TRAITRES JPP aller c'est bon Terry, et puis j'aime bien ton personnage !. Et à présent que tu es validé(e), tu peux dés maintenant faire tes scénarios. Nous t'invitons également à venir te recenser dans les différents registres disponibles dans cette catégorie, mais aussi à créer ta fiche de liens ici, ainsi que ton journal de bord par là. N'oublie pas également que la partie flood et jeux est le meilleur moyen de s'intégrer sur le forum. Si tu as des questions, la boite mp du staff est à ta disposition! En te souhaitant bon jeu!